Aux États-Unis, Juul devrait verser 2 milliards de dollars à ses employés mécontents … de la prise de participation d’Altria
Aux États-Unis, Juul devrait verser 2 milliards de dollars à ses employés mécontents … de la prise de participation d’Altria
http://bit.ly/2Al3oPc
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via Journal du vapoteur http://bit.ly/2nvxoDI
December 30, 2018 at 07:00AM
http://bit.ly/2Al3oPc
Dans cette histoire de la start-up Juul qui est devenu un géant du vapotage, il y a des situations et des chiffres qui dépassent l’entendement des Européens.
C’est le correspondant du Monde aux États-Unis (édition des 23-24 décembre) qui nous apprend que Juul va verser 2 milliards de dollars (1,7 milliard d’euros) à ses employés. Soit, en moyenne, 1,3 million de dollars (1,1 million d’euros) chacun.
Objectif : devancer leur mécontentement de voir leur entreprise rejoindre le camp du « Big Tobacco », suite à la prise de participation significative d’Altria dans son capital. En tout cas, voilà de quoi les fidéliser à un moment marquant de l’histoire de la jeune entreprise.
Dans une communication à ses 1 500 collaborateurs, Kevin Burns (patron de Juul) concède que l’arrivée d’un investisseur comme celui-ci est « contre-intuitif », mais l’opération « va nous permettre d’accélérer notre succès pour convertir les fumeurs adultes. »
Selon le Wall Street Journal, l’enveloppe de 2 milliards sera répartie en fonction du nombre d’actions de chacun des employés. Chez Juul, comme dans la majorité des start-up américaines, une partie de la rémunération est versée en actions.
Source : Le monde du tabac
C’est le correspondant du Monde aux États-Unis (édition des 23-24 décembre) qui nous apprend que Juul va verser 2 milliards de dollars (1,7 milliard d’euros) à ses employés. Soit, en moyenne, 1,3 million de dollars (1,1 million d’euros) chacun.
Objectif : devancer leur mécontentement de voir leur entreprise rejoindre le camp du « Big Tobacco », suite à la prise de participation significative d’Altria dans son capital. En tout cas, voilà de quoi les fidéliser à un moment marquant de l’histoire de la jeune entreprise.
Dans une communication à ses 1 500 collaborateurs, Kevin Burns (patron de Juul) concède que l’arrivée d’un investisseur comme celui-ci est « contre-intuitif », mais l’opération « va nous permettre d’accélérer notre succès pour convertir les fumeurs adultes. »
Selon le Wall Street Journal, l’enveloppe de 2 milliards sera répartie en fonction du nombre d’actions de chacun des employés. Chez Juul, comme dans la majorité des start-up américaines, une partie de la rémunération est versée en actions.
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