Leclerc veut vendre des substituts nicotiniques moins chers
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October 31, 2017 at 06:00PM
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À la veille du deuxième « Moi(s) sans tabac », en novembre, les supermarchés Leclerc réclament le droit de vendre des substituts nicotiniques. Ce n’est pas leur première tentative.
« Dans la lignée de ses combats pour une santé plus accessible, le Mouvement E. Leclerc interpelle à nouveau les pouvoirs publics pour obtenir l’autorisation de vendre les substituts nicotiniques moins chers. » Le communiqué tombe à la veille du lancement de l’opération « Moi(s) sans tabac », prévue en novembre.
Les supermarchés Leclerc notent que le remboursement forfaitaire de ces patchs et de ces gommes à la nicotine est passé de 50 € à 150 € en novembre 2016. Pour eux, cette mesure est insuffisante : « Si le taux de remboursement a un impact et encourage à l’arrêt du tabac, le coût d’achat du traitement y incite tout autant ». Raison pour laquelle ils réclament la possibilité de vendre ces produits à moindre prix.
Autre argument avancé par E. Leclerc : son réseau de 250 parapharmacies, « toutes confiées à des docteurs en pharmacie ».
Ce n’est pas la première offensive de ce groupement de supermarchés. Déjà, en 2014, Leclerc avait essayé d’obtenir le droit de vendre des substituts nicotiniques.
« Dans la lignée de ses combats pour une santé plus accessible, le Mouvement E. Leclerc interpelle à nouveau les pouvoirs publics pour obtenir l’autorisation de vendre les substituts nicotiniques moins chers. » Le communiqué tombe à la veille du lancement de l’opération « Moi(s) sans tabac », prévue en novembre.
Les supermarchés Leclerc notent que le remboursement forfaitaire de ces patchs et de ces gommes à la nicotine est passé de 50 € à 150 € en novembre 2016. Pour eux, cette mesure est insuffisante : « Si le taux de remboursement a un impact et encourage à l’arrêt du tabac, le coût d’achat du traitement y incite tout autant ». Raison pour laquelle ils réclament la possibilité de vendre ces produits à moindre prix.
Autre argument avancé par E. Leclerc : son réseau de 250 parapharmacies, « toutes confiées à des docteurs en pharmacie ».
Ce n’est pas la première offensive de ce groupement de supermarchés. Déjà, en 2014, Leclerc avait essayé d’obtenir le droit de vendre des substituts nicotiniques.
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